La nuit, la mer n'est qu’un bruit

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Date de parution 24 août 2017 | Archivage 5 sept. 2017

Résumé

Tout oppose Maud et Tim. Fille unique de parents modestes, c’est une scientifique brillante et une femme pondérée. Issu d’une famille nombreuse aisée, il est musicien et un peu bohème. Elle est secrète, réticente à la vie, lui exprime ouvertement ses sentiments. Ils forment pourtant un couple dont la solidité repose sur leurs passions communes : leur fille Catherine et la navigation. Lorsqu’une terrible tragédie les frappe, chacun réagit à sa manière. il se réfugie chez ses parents, incapable de surmonter sa douleur et le regard de Maud. Elle décide de réaliser leur vieux rêve : traverser l’océan.

De l’Angleterre à l’Amérique du Sud, La nuit, la mer n’est qu'un bruit est un voyage fascinant au cœur des sentiments et de l’indicible. La réponse d’une femme impénétrable à l’appel du large.

Tout oppose Maud et Tim. Fille unique de parents modestes, c’est une scientifique brillante et une femme pondérée. Issu d’une famille nombreuse aisée, il est musicien et un peu bohème. Elle est...


Note de l'éditeur

Par l'auteur du "Dernier requiem pour les innocents".

Par l'auteur du "Dernier requiem pour les innocents".


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782371190597
PRIX 19,00 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Aucune

Maud et Tim forment un couple mal assorti. Elle est issu d'une famille modeste, et a réussit à se hisser à la position de brillante scientifique, en restant très renfermée et peu loquace. De son côté, il est issu d'une famille nombreuse, musicien, et aime exprimer ses sentiments. Envers et contre tout, ils réussissent à mener leur relation, liés par l'amour de leur enfant et leur passion pour la navigation. Mais lorsqu'une terrible tragédie va les frapper, incapables de gérer leurs sentiments de la même façon, ils vont inexorablement s'éloigner.
Tim se réfugie chez ses parents, incapable de supporter son chagrin et la présence de sa femme ; tandis que Maud, pour tenter d'oublier, va réaliser son rêve de traverser l'océan en solitaire.
La nuit, la mer n'est qu'un bruit est un récit très intimiste, très déroutant. Tout au long du roman, on se pose des questions sur Maud et sur son ressenti face au monde. Elle est fuyante, renfermée, incapable d'exprimer ses sentiments, ce qui induit une certaine tension et interrogation chez son entourage. On l'a accusée d'être insensible, imperméable au chagrin. Son incapacité à entrer en contact avec les autres engendre beaucoup de sentiments, pour la plupart négatifs...
Divisé en deux parties, La nuit, la mer n'est qu'un bruit se concentre d'abord sur la vie de Maud et de Tim, sur leur couple... Pour ensuite partir avec Maud sur les mers, dans des aventures maritimes.
Je pense que ce roman ne pourra peut-être pas plaire à tout le monde : son côté un peu intimiste et imperméable peut décourager certains lecteurs, tout comme la profusion de termes marin dans la seconde partie. Même si la partie où Maud voyage est intéressante, nécessaire à son équilibre, j'aurais préférée voir davantage la vie de couple de Maud et Tim, que l'on se penche davantage sur leurs psychologies, leurs façons – différente – de voir la vie.
Malgré quelques défauts, je dois dire que La nuit, la mer n'est qu'un bruit est un livre que j'ai trouvé intéressant à lire, spécialement pour la construction du personnage de Maud, que j'ai trouvé à la fois très touchante et très difficile à comprendre.
Un livre dont il faut se faire sa propre idée !

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Lorsque l'impensable frappe le couple de Maud et Tim, le couple, meurtri, explose. Tim se refugie dans sa famille, Maud décide de réaliser un rêve : naviguer sur l'océan.

Nous partageons alors son périple, sa cohabitation avec la mer, compagne pas toujours facile. Trouvera-t-elle ainsi enfin la paix ?

Un bel hommage aux navigatrices, qui affrontent les éléments. Un roman curieux, Maud n'est pas une super héroïne. Elle est perdue, souffre, ne sait comment exprimer ses émotions refoulées depuis si longtemps. Une lecture parenthèse assez atypique, reposante et inspirante.

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L'écriture d'Andrew Miller est très distancée. Il s'attache aux détails matériels pour mieux décrire les personnages et leurs relations entre eux.
Mais le but n'est pas réellement ici de s'attacher aux personnages. Le texte semble en partie dénué d'empathie autant avec Maud qui n'exprime pas ses sentiments qu'avec Tim, qui reste éloigné d'elle malgré l'amour qu'il lui porte. Ils sont ensemble et s'aiment chacun à leur manière mais sont incapables de réellement se comprendre. Ils sont finalement très seuls.
C'est ce regard purement extérieur qui m'a donc dérouté au début. J'ai du m'habituer à cette écriture, à ce style que je n'ai pas l'habitude de lire.

Le troisième personnage qui a toute sa place c'est la mer. Le couple a une passion pour la navigation. Une chose que j'aime aussi beaucoup ayant grandi face à la mer. C'est donc cette élément (purement subjectif, je suis d'accord) qui m'a touché. Ce besoin pour Maud de naviguer. La navigation est son moyen à elle de s'évader mais surtout de fuir.
Même si, par moment, l'omniprésence du vocabulaire maritime nous perd un peu et nous fait parfois passer à côté de choses essentielles.

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Aucune

Bonjour Pélagie,

Je viens de terminer le roman « La nuit, la mer n’est qu’un bruit », voici mon modeste commentaire que je mettrai aussi sur NetGalley et Libfly.
La fin m’a un peu déroutée (j’aurais préféré soit la guérison soit un suicide clair) étant donné tous les efforts de Maud et un certain travail sur elle-même mais, dans l’ensemble, le roman est très beau et poétique. Merci beaucoup !

Tim rencontre Maud au club nautique de l'université. Souple et bricoleuse, elle intrigue les hommes travaillant sur le chantier de réparation des bateaux, son comportement presque masculin trouble Tim qui observe ses moindres faits et gestes. L'accident dont elle est victime, rapproche les deux étudiants. Tim, musicien guitariste, dévoué et sensible, s'installe dans l'appartement sobre et épuré de sa compagne, ils fondent une famille. Le bateau acheté en commun devient leur échappatoire, leur passion à partager : « Ils n’aménagent pas seulement le bateau mais leurs vies, leur vie ensemble. » Malgré un poste de chercheuse et la naissance de la petite Zoé, Maud reste absente, presque automatique, comme si elle était dépourvue de sentiments. Certains la trouvent « brillante et timide », d’autres, « insensible et égocentrique ». Au moment où tout le monde est anéanti après la mort de Zoé, elle retourne au travail comme si de rien n’était. « Sauve qui peut » tatoué sur son bras devient la devise de sa vie et l’annonce de sa fuite. Elle décide de tout quitter et partir à la recherche d’elle-même, l’univers du bateau est sa liberté mais peut-elle être libre en ignorant qui elle est vraiment ? « Ne jamais considérer que ce qu’on fuit est, d’une certaine façon, devant soi », Maud sera confrontée bientôt à ses limites. « Le trajet de la blessure » sera tracé par la tempête qui emmènera le bateau vers le Sud sur une île nommée l’Arche. Pour la femme abîmée qu’elle est, ce sera, peut-être, un lieu salutaire…

Ce roman psychologique et très poétique dévoile le portrait d’une femme seule, incomprise, froide en apparence et meurtrie à l’intérieur. Certains passages sont glaçants et presque incompréhensibles pour un lecteur lambda, son insensibilité surprend et dérange, d’autant plus que Tim déploie toute son énergie pour l’attirer vers lui et vers Zoé. L’auteur ne nous expliquera pas les raisons du comportement de son personnage principal, il délivre juste quelques bribes douloureuses de son passé, on reste un peu sur sa faim. Au moment de l’arrivée sur l’île, le roman bascule dans une sorte de fable : l’Arche est un univers géré par des enfants en manque d’amour et en attente du retour du père. Maud va apprendre les gestes de tendresse pour « guérir ». Et pourtant, a-t-elle vraiment guéri ?

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Nous plongeons ici dans la vie de Maud et Tim. Maud est froide, distante et ne semble pas ressentir quoi que ce soit ce qui fait d'elle un personnage assez déroutant auquel on s'attache un peu malgré nous. Seul son bateau semble provoquer quelque chose en elle. Tim disparaît rapidement lorsqu'un drame les frappe, livrée à elle-même Maud entreprend un voyage avec son fidèle bateau vers une destination inconnue.
Ce texte nous déboussole, nous frappe en plein cœur, une lente dérive dans la solitude.

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Ceux qui me connaissent un minimum savent que la mer peut me fasciner et à quel point j’entretiens avec elle une relation d’amour-haine. Mon roman favori de tous les temps (en tout cas, de ces 27 dernières années) s’appelle Les Déferlantes, écrit par Claudie Gallay. Alors, comprenez qu’en voyant le titre de ce roman d’Andrew Miller, sur NetGalley, je ne pouvais qu’être attirée, y compris en lisant l’extrait proposé sur le site.



Nous rencontrons, dès les premières pages, un couple particulier (et ce n’est pas peu dire!) : Maud et Tim. Maud, la mystérieuse taiseuse, est une femme ayant de grandes difficultés dans les relations humaines. Visiblement, il n’y a qu’aux autre, que cela pose problème. On a réellement la sensation qu’elle ne se rend pas compte et qu’elle n’éprouve aucun sentiment. Seulement un peu de tristesse fugace. Parfois. Et, nous avons Tim… Qui aime sa compagne de tout son être mais qui semble tellement dépassé par les événements et par sa vie. Ils sont ensemble mais paraissent terriblement seuls.



Durant toute la première partie du roman, nous suivons leur relation et son évolution. Par la suite, le roman part plutôt sur une histoire de navigation. Dès le début, la narration est particulièrement déroutante. Nous ne sommes pas dans l’action mais, clairement, dans la contemplation, avec une accumulation de détails. Au fur et à mesure des pages, le vocabulaire se fait de plus en plus technique, autour du bateau, et de plus en plus compliqué à saisir. A cause de ça, j’ai bien peur que de nombreux lecteurs passent à côté de ce roman.



J’aurais préféré que Andrew Miller reste un peu plus sur la terre ferme et approfondisse plus les caractères des protagonistes, en rendant leur amour de la mer plus accessible.

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L’histoire commence quasi banalement : Maud, une jeune étudiante, chute sur un bateau, Tim, un jeune homme prend soin d’elle, et l’on assiste à la naissance lente d’un couple. Il est artiste, elle est scientifique, ils deviennent parents d’une petite fille.

J’ai aimé d’emblée ce roman, le caractère taiseux de Maud, son retrait, son entourage semble avoir du mal à communiquer avec elle, et pourtant le lecteur entre en empathie avec elle (enfin ce fut mon cas !) Elle s’épanouit dans la restauration d’un bateau et la navigation, c’est son domaine, bien plus que celui de Tim, qui gère le quotidien familial.

Quand survient le drame, évoqué avec pudeur, Tim perd pied et se réfugie chez ses parents. Il ne parvient plus à communiquer avec Maud. Celle-ci ne semble pas affectée outre mesure par l’accident qui vient de les frapper, mais elle suivra son propre chemin de croix. Déterminée, elle partira seule en mer et affrontera les éléments déchainés, la difficulté de naviguer seule, la solitude dans des conditions extrêmes.

A ce moment du voyage, le récit devient plus technique, le vocabulaire lié à la marine et à la navigation est omniprésent, trop peut-être. Mais l’envie de connaître le dénouement est si fort que l’on passe outre ce petit désagrément.

Maud se reconstruira, transcendera sa souffrance si longtemps intérieure, et la fin laisse entrevoir un espoir.

Un roman magnifique, par la force de son personnage féminin et le chemin hors norme choisi. Une très belle découverte.

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Pas de fioritures, pas de grandiloquences, rien de particulièrement démonstratif, La nuit, la mer n'est qu'un bruit ne repose que sur de l'ordinaire, un ordinaire au style froid et presque clinique parfois, dans la nonchalance des personnages et les longues descriptions marines, mais dans lequel on accepte facilement de se poser en spectateur pour observer le drame qui se joue.

Le roman est l'histoire d'une fuite. Fuir en tant qu'épouse, fuir en tant que mère, fuir en tant que fille. Fuir lorsqu'on ne sait plus où se placer.
On y découvre les premiers pas du couple que forment Maud et Tim, leurs différences, le début de leur vie à deux et immédiatement, on est frappé par le personnage de Maud, par sa distance, sa passivité, par ce personnage toujours en retrait, qui semble absent, comme une ombre durant toute la première partie de l'histoire. Tim se pose d'ailleurs en narrateur durant tout le début du roman, Maud n'existe qu'à travers son regard, son amour, ses attentions. Et à travers leur passion commune : la navigation. On a du mal à se prendre d'empathie pour cette femme si distante de ses parents, de son compagnon, puis ensuite de son enfant. Pourtant, à mesure que la tragédie approche, le rôle du narrateur s'inverse progressivement, jusqu'au drame, moment où Tim s'efface à son tour pour laisser Maud s'imposer et se révéler.

Face à la tragédie, Maud décide de s'enfuir, d'embarquer sur le Lordstar, leur bateau à Tim et elle, et de partir à la traversée de l'Atlantique. On découvre alors le personnage sous un autre jour. Avec la navigation comme véritable amour, Maud se révèle au contact de la mer, laisse entrevoir les fissures, regagne cette humanité qu'on peine à lui trouver dans les premières pages du récit.

Je me suis laissée happée par cette fuite cathartique, par le ton du récit qui restitue l'histoire sans chercher à l'embellir mais sans être dénué de joliesse pour autant. Chez Andrew Miller, les émotions et sentiments sont à l'image de son style : complexes avec simplicité. En parallèle, le vocabulaire sur la navigation n'est pas toujours facile à assimiler, mais la maîtrise de l'auteur de son sujet est indéniable et j'ai fini par me laisser porter par les passages en mer, non sans garder mon dictionnaire à portée de main, néanmoins.

Si je dois émettre une note négative, ce serait sur mes réserves concernant la fin qui m'a semblé se détacher de l'histoire, cesser à un moment donné d'en être la continuité. On s'égard dans une sorte d'aparté qui ne donne pas de réelle acheminement au récit, laissant le lecteur s'imaginer ce qu'il souhaite. Cette fin ouverte m'a un peu frustrée, j'aurais aimé en savoir plus sur le cheminement de Maud.

La nuit, la mer n'est qu'un bruit est un roman sur la difficulté d'aimer, de s'accorder, sur le deuil et le besoin de s'enfuir. Armé d'un style où joliesse rime avec simplicité et où beaucoup de choses sont tacites, l'auteur nous offre un récit plein d'humanité et transcende l'ordinaire.

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Le résumé est un brin trompeur puisqu'une bonne partie du livre se passe avant, voire bien bien avant. Du coup, j'étais un peu mi-figue mimolette en avançant dans ce livre, rapport que j'attendais ce qui est annoncé dans le résumé et que je ne vous ai pas recopié.
Mais à un moment, au bout d'une vingtaine de pages, j'ai arrêté d'être perplexe et de froncer le sourcil, ça donne des rides voyez-vous. Et je me suis laissée embarquer dans l'histoire.
La vie de ce couple, qui se rencontre suite à un accident de bateau et ne se quitte plus par la suite, est assez atypique. En fait, à aucun moment on a l'impression que c'est ce que Maud veut. Plutôt que Tim, son enthousiasme et son amour sont suffisants pour deux.
Elle, elle laisse faire les choses.
D'ailleurs, j'ai d'abord eu beaucoup de mal à m'attacher à elle. Elle est tellement distante et mutique qu'on ne sait jamais ce qu'elle pense. Tim le premier, d'ailleurs. On ne la voit pas ressentir les évènements, pudique comme elle l'est. L'auteur ne nous aide pas vraiment à la voir autrement. Et finalement, quand il arrive ce qu'il arrive, qu'elle se retrouve isolée et accablée par les autres, on ne peut pas faire autrement que de se dire que quand même, elle a des réactions bizarres. Tout le monde finit par lui reprocher sa façon d'être, de réagir, de manifester (ou en l'occurrence, de ne pas manifester) ses sentiments.
Et ensuite, on se rend compte que Maud, elle réagit. Que oui, elle a des sentiments, mais qu'elle veut avancer. Qu'elle réagit juste différemment. Que ce n'était qu'une façade. Et on apprend à l'apprécier pour ça aussi.
Parce que ce qu'elle va entreprendre ensuite, ce qu'elle va vivre, c'est une tentative de reconstruction. Parfois un peu suicidaire, soit dit en passant.
Bon, mon problème, c'est qu'alors, j'ai été un peu perdue. Sérieusement, j'ai mis 3 fois le pied sur un bateau dans ma vie, alors le vocabulaire nautique / marin et moi, on n'est pas hyper copains. Du coup, j'ai trouvé certains passages un peu longs, probablement parce que je ne comprenais pas les enjeux et que j'avais du mal à visualiser dans quelle situation notre amie Maud pouvait bien se trouver.
Je n'ai pas non plus été très fan de la dernière partie, un poil trop métaphorico-spirituelle-facile pour moi.
Donc bon, soyons honnêtes, il y a quelques longueurs, quelques facilités dans ce livre. Mais dans l'ensemble, je l'ai trouvé beau. Il y a un beau message, un style qui a su me toucher, et un maniement de la psychologie des personnages (avec un revirement de ce que peut penser le lecteur en même temps) très bien fichu.

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