La Femme à la fenêtre

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Date de parution 8 févr. 2018 | Archivage 23 avr. 2018

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Résumé

Ce n’est pas de la paranoïa si ça a vraiment lieu…

Depuis le départ de son mari et de sa petite fille, Anna vit recluse dans sa maison de Harlem, abreuvée de merlot, de bétabloquants et de vieux polars en noir et blanc. Quand elle ne joue pas aux échecs sur internet ni ne chatte sur un forum réservé aux claustrophobes, elle espionne ses voisins. Surtout la famille Russel – un père, une mère et un adorable ado –, qui viennent d’emménager en face. Un soir, Anna est témoin d’un crime. Mais comment convaincre la police quand on doute soi-même de la véracité de ses souvenirs ?

 Qu’est-ce qui est vrai ? Qu’est-ce qui est imaginé ? Qui est en danger ? Qui contrôle ? Dans ce thriller diaboliquement efficace, personne – ni rien – n’est ce qu’il paraît.

Ce n’est pas de la paranoïa si ça a vraiment lieu…

Depuis le départ de son mari et de sa petite fille, Anna vit recluse dans sa maison de Harlem, abreuvée de merlot, de bétabloquants et de vieux...


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Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782258147218
PRIX 21,90 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Je n'ai pas hésité quand j'ai vu ce livre sur NetGalley. J'ai tout de suis été emballé par la 4eme de couverture.

Anna est une femme de 38 ans, qui vit recluse chez elle depuis plus de 11 mois. Les seuls contacts qu'elle ai avec l’extérieur est son mari, Ed (dont elle est séparé) et sa fille, Olivia (par téléphone).  D'autres interactions avec le monde extérieur grâce aux visites hebdomadaires à domicile de son psychiatre, son physiothérapeute et son locataire au sous-sol, David.

Son quotidien ? Boire des litres de Merlot. Jouer aux échecs sur internet, regarder de vieux films en noir et blanc et espionner ses voisins à l’aide de son appareil photo.

On ressens bien la notion de claustrophobie et d'enfermement dans ce livre. Le thème qui ressorte également est celui de l'alcoolisme. Le fait que le personnage principal boivent n'aide pas a être véridique face a des accusations qui restent assez graves. Anna va réussir a se mettre a dos toutes les personnes qui vont chercher à l'aider et lui faire comprendre qu'elle est paranoïaque et qu'elle doit se soigner.

Un très bon roman qui se dévore, les pages défilent sans qu'on se rende compte qu'on est déjà à la fin du livre.

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J'ai aimé ce polar aux références cinématographiques appuyées ( Anna, l'héroïne de cette histoire) est passionnée de films en noir et blanc aussi renommés que ceux d'Alfred Hitchcock, par exemple). Il faut attendre assez longtemps, je dois dire, pour que l'intrigue policière proprement dite se mette en route, mais dés lors que le crime a été commis, on ne lâche plus le livre jusqu'à la dernière page. C'est un bel échafaudage qui commence par le portrait d'une femme recluse, le docteur Anna Fox, qui exerçait le métier de pédopsychiatre, mais qui se terre depuis près d'un an dans sa maison à plusieurs étages, située à Harlem. Elle souffre d'agoraphobie, passe ses journées à boire et à consommer des médicaments. Pour se distraire, il y a internet et puis la surveillance du voisinage depuis sa fenêtre...

Le passé dévoilé progressivement

Le personnage d'Anna est minutieusement construit, on sait très vite qu'elle a été mariée à Ed et qu'ils ont eu ensemble une fille Olivia. Mais c'est la séparation depuis plusieurs mois maintenant, et Anna vit seule désormais. Elle ne peut se passer d'appeler au téléphone son ex mari et sa fille, puis on finit par apprendre qu'au moment où le couple s'est disputé, il y a eu un accident dans une tempête de neige. Depuis, c'est l'enfer dans sa vie et l'impossibilité pour elle de quitter sa maison, de voir la lumière...

L'étrange voisinage des Russel

La situation personnelle d'Anna joue un grand rôle dans l'intrigue policière. Car un soir, chez les Russel, dont Anna aperçoit l'appartement depuis chez elle, un meurtre a lieu et elle en est témoin, étant à la fenêtre ce soir là... Mais, quand la police arrive, l'inspecteur Little et sa collègue Norelli, mènent rapidement l' enquête et concluent à des hallucinations de la part d'Anna, liées à la prise d'alcool combinée à celle des médicaments. Toute la force de ce roman est là, dans l'impossibilité pour le lecteur, de savoir la vérité entre les allégations d'Anna et les conclusions de la police.

Des personnages secondaires savamment choisis

L'auteur met en scène plusieurs personnages qui vont jouer chacun leur partition dans cette histoire. Le docteur Fielding, avec qui Anna communique souvent mais ne suit pas les recommandations, les Russsel, bien sûr, avec en particulier Ethan, un adolescent qui vit avec ses parents dans l'appartement où s'est produit le crime supposé par Anna, David, un séduisant jeune homme qui a loué le sous-sol de la maison d'Anna, et aussi Bina, une infirmière-kiné, qui vient régulièrement au domicile d'Anna.

Un style très brillant

J'ai aimé l'écriture de ce polar, qu'on lit facilement, tant le style est fluide, avec beaucoup de dialogues qui rythment la narration, et ajoutent souvent au suspense. C'est un excellent choix de lecture, sans aucun doute.

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Un chref d'œuvre ! Époustouflant, impressionnant, addictif

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La femme à la fenêtre de A. J. Finn est un thriller psychologique que j'ai dévoré, et refermé en me disant : "Ah oui, quand même !"
Quand je l'ai commencé, je ne m'attendait pas du tout à ça. En le demandant aux éditions Les presses de la cité et net galley je pensais lire un roman sur l’agoraphobie, avec une femme qui perd un peu la tête et imagine des choses..
Or je suis tombée sur un roman passionnant, très bien ficelé et où l'angoisse monte de plus en plus au fil de la lecture.
Anna est une psychologue qui, suite au choc de la séparation avec son mari et leur fille, refuse de sortir de chez elle. Refuse étant un bien grand mot, en fait elle en est incapable car atteinte d'agoraphobie. Elle prend un peu trop de médicaments et boit un peu trop de merlot. En guise d'occupation, elle passe une grande partie de ses journées à la fenêtre, où elle espionne ses voisins.
Quand la famille Russell, composée d'un couple et de leur adolescent d'une quinzaine d'années, emménage en face Anna les observe. Et un jour, elle voit un meurtre..
Mais est ce réel ? Ou simplement son imagination qui travaille ? Est t'elle réellement folle comme le suppose certaines personnes du voisinage ?
J'ai adoré ce roman car il nous entraîne dans la folie de Anna... mais est t'elle vraiment folle ?
On va de pistes en pistes, on imagine des choses, et finalement la vérité est tout autre que celle imaginée.
je pense que vous l'aurez compris, j'ai adorée ce thriller psychologique que je recommande chaudement et à qui je mets cinq étoiles :)

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Bien évidemment quand on lit le titre et qu’on commence sa lecture, on pense immédiatement au film de Hitchcok « Fenêtre sur cour » mais on peut aussi songer au roman de Paula Hawkins « La fille du train » car on y retrouve trois thèmes communs : le voyeurisme pour l’un et l’alcoolisme et la dépression pour l’autre. En effet, Anna n’a pas quitté sa maison depuis pratiquement un an à la suite d’un événement tragique (mais lequel ?), elle vit seule car son mari et sa fille sont parties de la maison et, depuis, elle passe son temps à boire du Merlot et à espionner ses voisins à l’aide d’un appareil photo. D’ailleurs, une nouvelle famille vient d’emménager, un couple et son fils. Le garçon vient lui rendre visite et l’ancienne pédopsychiatre qui est en elle, soupçonne une grande souffrance voire une certaine maltraitance. Elle rencontre Jane, la mère chaleureuse et aimante. Et puis, un soir, Anna est témoin du meurtre de Jane. En tentant de se porter à son secours, elle s’effondre, car souffrant d’agoraphobie, elle ne parvient pas à approcher de la maison des Russell. Quand elle se réveille à l’hôpital, personne ne la croit, pire la police pense qu’elle affabule. Qui irait croire une dépressive alcoolisée la plupart du temps, surtout que Mme Russell lui est présentée ? Mais la femme ne ressemble pas du tout à Jane. Alors est-elle folle ? Ou a-t-elle été témoin d’un meurtre abominable ? L’intrigue est efficace, le rythme trépidant et on peut s’interroger sur la santé mentale du personnage principal. Tout notre intérêt se concentre sur elle car, peu à peu, l’auteur glisse des indices qui nous permettent de saisir un peu mieux ce qu’elle a vécu (bon j’ai deviné assez facilement). Par contre j’ai été surprise par la fin, je ne m’attendais pas à ce rebondissement. J’ai passé un bon moment de lecture. Laissez-vous tenter !

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Première question : qui se cache derrière A.J ? J’ai passé tout le livre à me dire que c’était une femme. Ne me demandez pas pourquoi, je l’ignore…En fait, c’est un journaliste new-yorkais et « la femme à la fenêtre » est son premier roman. Et quelque chose me dit que ça ne sera pas le dernier.

Ce livre va rendre fou n’importe quel lecteur. On découvre la vie d’Anna, qui vit seule depuis que son mari a divorcé et a la garde de leur fille. Elle souffre d’agoraphobie, et on découvre la terrible maladie qui se cache derrière ce nom un peu bizarre. Anna n’arrive pas à vaincre ses peurs et ne sort jamais de chez elle. Sa vie tourne donc autour du forum sur internet où elle est inscrite, ses parties d’échecs en ligne, ou encore sa passion pour les vieux films américains (j’ai adoré toutes les références aux chefs d’œuvres cinématographiques illustrant tout le livre). Jusque là, rien d’anormal.

Sauf qu’elle passe le plus clair de son temps à espionner ses voisins, son appareil photo vissé à l’œil. Jusqu’au jour où elle assiste au meurtre de sa voisine d’en face.

Or, Anna est blindée de cachets contre la dépression qu’elle arrose à grands coups de vin. Le duo est explosif pour insinuer le doute, à la fois dans l’esprit des policiers, mais aussi dans la tête d’Anna qui ne sait plus trop où elle en est. Quant au lecteur, il est à 2 doigts de s’enfiler un bon whisky pour faire passer un somnifère afin d’oublier toute cette histoire !

C’est un très bon thriller psychologique, un peu longuet au début, le temps que tout se mette en place, et ensuite, ça s’accélère, pour notre plus grand bonheur.

L’écriture est agréable, le personnage d’Anna est très complexe, le rythme dans la seconde moitié est top, les rebondissements sont nombreux et que dire de la fin ? Elle est époustouflante, et je m’attendais à tout, sauf à ça.

Je remercie les Editions Presse de la Cité pour cette lecture.

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un roman qui nous plonge dans une atmosphère sombre et oppressante en compagnie d'Anna et de son merlot.
Un style direct qui nous tient en haleine jusqu'à un final pour le moins surpenant!
Que se cache t'il derrière les fenêtres de nos voisins?

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Anna Fox, pédopsychiatre vit seule avec son chat dans sa grande maison vide. Séparée de sa famille, elle est atteinte d'une forme complexe d'agoraphobie et n'est pas capable de mettre ne serait-ce qu'un pied dehors. Alcoolique, dépressive, bourrée de médocs, elle passe son temps à la fenêtre à épier ses voisins, armée de son Nikon D5500.
Elle est, de ce fait, témoin de beaucoup de choses comme le fait que Madame Miller trompe son mari. Mais juste en face, au 207, une nouvelle famille, les Russel, s'installe et là, tout bascule.
Je me suis dit, au début, qu'il ne se passait rien puis petit à petit je me suis rendue compte que j'étais branchée à une perfusion, qu'une drogue s'instillait petit à petit dans mes veines, que mes neurones étaient atteints les uns après les autres.
Je suis dans la tête d'Anna. Je respire avec elle. Je bois avec elle. (Je vous dis pas la gueule de bois 😜) Je souffre avec elle. Je m'interroge avec elle. Je deviens clairement aussi folle qu'elle au point que je ne sais plus très bien qui je suis !
Cette atmosphère lourde, pesante, cette folie m'a tourneboulé le cerveau comme dans une essoreuse à 1400 tours minutes. Plus rien n'a de sens, tout est confus, dilué dans les relents d'alcool, étouffé par les benzodiazépines.
Suis-je dans la réalité ? Dans le délire d'une femme malade ?
Des références cinématographiques à la pelle. Des vieux films en noir et blanc qui truffent ce récit, qui l'accompagne comme pour lui tenir la main. Cette impression de se retrouver dans un bon vieux Hitchcock version Manderley.
Ce n'est, certes, pas de la supra grande littérature. C'est clairement tout public mais il faut le dire, l'avouer, c'est rudement efficace ! La preuve, me suis retrouvée prise au jeu et n'ai pas pu le lâcher !
Et vous ? Serez-vous capable de suivre Anna ? De l'accompagner dans son délire ? De lui tenir la main ? De boire avec elle ?

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Un thriller efficace, une héroïne attachante, une bonne énigme, un suspense bien maintenu et un dénouement inattendu. Voilà en gros les ingrédients de ce bon thriller dont on tourne les pages avec avidité pour connaître la fin, impossible à deviner.
Bien que l'héroïne m'ait tout de suite fait penser à celle de "la fille du train" (alcoolique, solitaire, vivant par procuration à travers les autres...), je l'ai trouvée plus attachante dans ses faiblesses, ses lubies, ses failles et douleurs. Les personnages secondaires sont plutôt bien campés, les détails distillés au fur et à mesure très bons. Quant à l'intrigue, elle est bien trouvée, un peu longue et/ou répétitive par moments mais globalement addictive comme on dit.
Un très bon moment de lecture.

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Voilà ce qu'on appelle "une pépite"! Un personnage principal, Anna, qui n'est pas loin de sombrer, qui se débat au sein d'un univers réduit à ses addictions (Merlot, vieux films en noir et blancs, antidépresseurs divers et variés....) et à l'espionnage de ses voisins! Jusqu'au jour où.... mais "chut!" lisez le, vous ne le regretterez pas un quart de seconde. L'auteur a su créer une atmosphère lourde, pesante, prenante! Un roman où rien n'est ce qu'il parait, qui nous entraine et nous ballade au gré des mots, des phrases.... Un roman qui s'imprime dans votre mémoire et n'en sort pas la dernière page tournée! Une réussite!

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